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Kouroussa : Cette ville enfin très impropre ,la mairie et préfecture pointées du doigt


« Le noir ne meurt pas de microbes ». Cette fausse idée reçue qui justifie l’environnement insalubre dans lequel on se complaît au quotidien, est en train de trouver assise dans les rues et marchés de Kouroussa. À coté des immondices, on vend des produits vivriers de toutes sortes, même ceux destinés à être consommés directement. Eaux stagnantes où nagent les asticots et autres bestioles, boues et ordures charriées par les pluies, auxquelles s’ajoutent les immondices des dépôts sauvages des vendeurs ou des riverains en manque de solutions pour leur déchets, le marché central est devenu de véritables dépotoirs sous le regard impuissants des riverains. A Kouroussa : c’est aussi l’absence notoire d’autorité Quand l’anarchie règne,c’est que la responsabilité n’est nulle part. Ces tas d’immondices,ces taudis sont au vu et au su de toutes les autorités à tous les niveaux de cette vieille ville de l’intérieur du pays .C’est à se demander si cette situation interpelle ceux qui outre les comités de marchés, sont chargés de les gérer au plus haut niveau. En attendant ,le marché central devient de véritables pataugeoires. Gare à ceux qui s’y aventureraient bien habillés. Vêtements et chaussures en ressortiraient bien abîmés à Kouroussa.


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